Quand le Crif espère faire taire les critiques d'Israël, il sort l'arme qui lui est la plus fatale: Marc Knobel.
Connu comme "chercheur et historien au Crif" - à bien y penser la seule "personnalité" médiatique déclarée historien d'un comité qui se targue de représenter toute la communauté juive - la fine plume du Crif, qui justifie toutes les batailles (perdues, rappelons-le) de l'Avocat-sans-frontières (et sans limites ni connaissances juridiques apparemment), Gilles-William Goldnadel, dans des éditos flamboyants de connerie (mais auxquels la justice française sous Sarkozy finit par donner raison), persiste et signe.
En date du 8 juillet, Marc Knobel apostrophe et se demande sincèrement, après que son institution a réussi à modifier le cours de l'histoire et à empêcher quelques volontaires de se rendre en Israël/Palestine :
"Quelle est donc cette furie anti-israélienne qui anime une fois de plus certains militants de la cause pro-palestinienne ? Quelle est donc cette passion folle et quasi-religieuse qui anime ces gens ? A croire que l’apocalypse vient, que le ciel se déchaine, que le monde tremble et ne survivra pas (...)"
Oui, en effet, il ne doit s'agir que de furie et non de droit.
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